Album : Climats (novembre 2018)

Refrain :Do the reggae Oh Yeah x 3
Do the reggae, do the reggae now

Le groove funky reggae
Rythme toutes mes journées
Combattant de la liberté
Le reggae nourri mes pensées

Refrain

De l’Afrique à l’Amérique
De Kingston a London
Le combat par la musique
Résonne là où le reggae sonne

Refrain

Le climat part en couille et le peuple dérouille
La planète on dépouille la maison on la souille
On puise et on épuise les ressources à notre guise
Nos chances s’amenuisent de faire face à cette crise
La machine est emballée, personne pour l’arrêter
Le climat part en couille et le peuple dérouille

REFRAIN :
Et je danse le reggae, au milieu de la tempête mondialisée
Et je chante le reggae, au milieu de la tempête généralisée

Le dieu consommation agit sur tous les fronts
Alors qu’il nous faudrait repenser nos sociétés
Métropolisation et mondialisation
Ne sont pas les chemins qu’il nous faudrait emprunter
La machine est emballée, personne pour l’arrêter
Le climat part en couille et le peuple dérouille

REFRAIN :
Et je danse le reggae, au milieu de la tempête mondialisée
Et je chante le reggae, au milieu de la tempête généralisée

Nous sommes tous esclaves de la loi des marchés
Il faut briser les chaînes qui nous sont imposées
Il nous faut désormais marcher d’un autre coté
Levons les boucliers tant qu’il en est encore temps
Agissons bâtissons un futur à nos enfants

A l’école de la rue, c’est là qu’ils se sont vus
La section chien perdu, la qu’ils se sont connus
Petite fleur de pavé, petit loulou sur le quai
Dans la même direction, pas le même wagon

REFRAIN : toujours loin toujours là, bienveillante douceur
Vient prend moi dans tes bras, oh mon accroche cœur

Les années s’écoulèrent, sur cette bonne vieille terre
Chacun suivant sa voie, essuyant peines et joies
Rescapés des tempêtes, de chaque vie d’humain
Blessés au cœur à la tête, ils se voyaient de loin R

REFRAIN : toujours loin toujours là, bienveillante douceur
Vient prend moi dans tes bras, oh mon accroche cœur

La vie les réunis, loin des feux loin des cris
A la section chiens perdus, là qu’ils c’étaient connus
Ils sont dit on partis, pour finir leur vie
Toujours loin toujours là, le vent en parle encore br>

REFRAIN : toujours loin toujours là, bienveillante douceur
Vient prend moi dans tes bras, oh mon accroche cœur

Non ne me chante pas, Non pas cette chanson la
Même si tu chanté juste,
Elle te sonnerait faux
Non ne me raconte pas, Non pas cette histoire la
Tes cernes qui s’incrustent, Te mettraient en défauts

REFRAIN :
Ai un peu d’indulgence, pour notre intelligence
Juste un peu d’élégance, l’histoire aurait un sens

Non ne me chante pas, non pas ce couplet la
Tes marches bavaroises et tes blagues grivoises
Non ne me raconte pas, non pas cette histoire là
Tes violons poujadistes, et tes harpes racistes br>

REFRAIN :
Ai un peu d’indulgence, pour notre intelligence
Juste un peu d’élégance, l’histoire aurait un sens

Non ne me chante pas, non pas cette histoire la
Je n’ai rien à acheter dans ton supermarché
Non ne me rejoue pas, non pas cette chanson la
Non je n’ai pas besoin de ce qui ne sert à rien

Non ne me chante pas, non ne me raconte pas
Non ne me rejoue pas, non pas ce couplet la

Quand t’a vie ne dit rien de bon, que la roue tourne en rond
Quand tu ne vois à l’horizon, que la pluie le béton
Quand tu n’as plus dans tes souliers, devant la cheminée
Que factures et publicités, comme raison d’exister

REFRAIN :
N’attend pas que la tour s’écroule, que le train te fauche un soir
Tu sais bien le temps qui s’écoule, ne reviendra pas te voir

Quand chaque jour tu sens la pression, du dieu consommation
Quand Jésus, Marx ou Mohamet, ne comblent tes désillusions
Dis-toi qu’on est un sacré paquet, à remettre en question
La gouvernance de nos destinées, le règne du pognon

REFRAIN :
N’attend pas que la tour s’écroule, que le train te fauche un soir
Tu sais bien le temps qui s’écoule, ne reviendra pas te voir

Quand t’a vie ne dit rien de bon, que la roue tourne en rond
Quand tu ne vois à l’horizon, que la pluie le béton
Quand tu n’as plus dans tes souliers, devant la cheminée
Que factures et publicités, comme raison d’exister

REFRAIN :
N’attend pas que la tour s’écroule, que le train te fauche un soir
Tu sais bien le temps qui s’écoule, ne reviendra pas te voir

REFRAIN : Woi woi wo oi x 4

Je me fais me fait la grande évasion ce soir sur internet je ne serais pas connecté
J’ai laissé mon portable au fond de mon placard, on ne pourra pas me localiser

REFRAIN : Woi woi wo oi x 4

Je me fais me fais la grande évasion ce soir, ne cherchai pas à me retrouver
J’ai laissé toutes mes cartes au fond de mon tiroir et l’on ne pourra pas m’identifier

REFRAIN : Woi woi wo oi x 4

C’est parti je veux juste aller me balader
Juste les mains dans les poches et les baskets aux pieds
Je voudrais remonter le fil des années sans soucis sans pensées à battre le pavé
Je me fais me fais la grande évasion ce soir, au pays des onomatopées
J’ai pris mon microphone et j’ai pris ma guitare, je pars pour ne jamais me retourner

Je me fais me fais la grande évasion ce soir, au pays des onomatopées
J’ai pris mon microphone et j’ai pris ma guitare, je pars pour ne jamais me retourner

REFRAIN : Woi woi wo oi x 4

Sur le grand échiquier, du monde des boursiers
La virtualité, fait tourner les marchés Le tradeur fait l’erreur, de penser son bonheur
A l’abri du malheur, reclus dans son bunker
Mais de sa tour de verre, aux fondations fragiles
Il oublie que l’enfer engloutira les villes
Sous ce règne fantoche, le monde se rapproche
Mais le fossé se creuse de façon dangereuse

REFRAIN : une vie sous contrôle x 4

Dans les supermarchés, de la réalité
On se presse au guichet pour économiser
De quoi payer le beurre qui fond à la lueur
Du pétrole brulé par nos mobilités
Tous conditionnés, surveillés sur taxées
Pieds et poings entravés pat la loi des marchés
Le monde se resserre, larvé d’étranges guerres
Les inégalités, ne cessent de gonfler

REFRAIN : une vie sous contrôle x 4

Reprenons le contrôle de notre garde-manger, de nos solidarités de notre libre pensée
Reprenons le contrôle de nos mobilités, de nos consommations de nos portes monnaie
Reprenons le contrôle de nos choix de penser, de nos énergies, nos façons de consommer
Reprenons le contrôle ne soyons plus esclaves, libérons nous du joug des multinationales

REFRAIN : une vie sous contrôle x 4

J’ai trouvé mon âme sœur, elle a rempli mon cœur
Pour toujours elle sera au plus profond de moi
Iluminada, une vie avec toi
Iluminada, dis comment c’est la bas

REFRAIN : O OOO O

Quelques années de bonheurs, dérobées au malheur
Sinistre prédateur, qui attendait son heure
Ce rendez-vous stupide que cette guerre apatride
Toujours loin toujours là, t’as fixé ce jour là

REFRAIN : O OOO O

Que faisais tu la bas, juste au mauvais endroit
Victime de ces combats ne nous appartenant pas
Pas plus que toutes ces guerres, ces haines et ces colères
Dont les rouages nous échappent mais dont les malheurs nous frappent

REFRAIN : O OOO O

On se dit aujourd’hui que dans nos sociétés
Toute au long de nos vies on est surinformé
On sait tout tout sur tout jusqu’au fond sous-marins
On sait tout, tout sur tout du monde des humains
Du salaire du footballeur jusqu’ à la guerre, la terreur
Plus rien ne nous échappent mais plus rien ne nous frappe

REFRAIN : je te dis tu me dis il se dit on se dit tout ça x 4

Je vois bien ça et là dans l’audience en présence
Des oreilles dressées, des murmures attisés
Mais qu’es ce qu’il nous raconte, qu’es ce que c’est que ce comte
Avec des sous-marins et des drôles de machins
On se dit que l’humain est un loup pour les siens
Que les petits malins iront toujours plus loin

REFRAIN : je te dis tu me dis il se dit on se dit tout ça x 4

Il se dit aujourd’hui, la solidarité
Est une valeur finie, reléguée au passé
L’individualisme, parfum capitalisme
S’impose comme opinion de la mondialisation
Nos yeux sont si rempli qu’on se dit aujourd’hui
Plus rien ne nous échappe mais plus rien ne nous frappe

REFRAIN : je te dis tu me dis il se dit on se dit tout ça x 8

No no no, cette fois c’en est trop
No no no, même si je t’ai dans la peau
Il y a trop de dommages collatéraux
Croire à tes fausses promesses
M’ont expédié au pays de la détresse

J’ sais pas quoi faire, dans cette galère
Sous le règne de Lucifer on va finir en enfer
J’ sais pas quoi faire, quand c’est la guerre
J’ veux pas tuer mes frères mais je ne veux pas laisser faire
J’ sais pas quoi faire, c’est la misère
On pourri notre terre mais on ne change pas nos manières

REFRAIN :
Qu’es ce qu’il faut faire, peuples du monde
On pourri notre terre on ne change pas nos manières
Qu’es ce qu’il faut faire, faire pour bien faire
Cherchons des solutions et agissons de concert
Qu’es ce qu’il faut faire, peuples du monde
Pour sortir d’un système dont les rouages nous entraîne
Qu’es ce qu’il faut faire, faire pour bien faire
Cherchons des solutions et agissons de concert
Boycottons les cons !

J’ sais pas quoi faire, sous quelle bannière
Je peux donner ma voie pour faire ce qu’il y a à faire
J’ sais pas quoi faire, je marche au super
Pour aller ou je dois ça coute beaucoup trop cher
J’ sais pas quoi faire, j’ai trop souffert
Mais je ne pourrais rien faire quand je serais six pieds sous terre

REFRAIN

Qu’es ce qu’il faut faire ? Pour changer d’air
Boycottons de front la grande distribution
Qu’es ce qu’il faut faire ? Pour changer d’air
Ne donnons plus caution à la mondialisation
Qu’es ce qu’il faut faire ? Peuples de la terre
Attaquons les lobbies qui diligences nos vies

REFRAIN : aujourd’hui c’est soleil x 2

Aujourd’hui c’est soleil je vois par la fenêtre, le monde qui s’éveil en appel au bien être
Il donne le sourire, fait briller la planète, mais il faut bien se dire que rien n’est éternel
Retrouver l’instinct de protection des siens, c’est retrouver son âme et retrouver son bien
La nature et l’humain pour toujours ne font qu’un, et en en prenant soins on protège les siens

REFRAIN : aujourd’hui c’est soleil x 2

Ecoutez le vent ce qu’il a à nous dire, c’est regarder devant et ne pas se mentir
Regarder les abeilles volant dans le soleil, et savoir que demain ne sera plus pareil
Se poser la question des futures générations pour ne pas leur laisser comme seul horizon
Un souvenir perdu comme un rêve lointain, un paradis perdu à jamais pour l’humain
Ecouter le vent ce qu’il a à nous dire c’est regarder devant et ne pas se mentir
Retrouver l’instinct de protection des siens c’est retrouver son âme et retrouver son bien R

REFRAIN : aujourd’hui c’est soleil x 2

Retrouver l’instinct de protection des biens dominé par celui de protection des biens
C’est retrouvé l’instinct animal a l’humain, c’est retrouvé son âme et retrouver son bien
Perdu dans le béton du monde de demain on oublie l’essentiel faisant notre chemin
La nature et l’humain ne ferons toujours qu’un, et en en prenant soin on protège les siens
Ecouter le vent ce qu’il a à nous dire c’est regarder devant et ne pas se mentir
Retrouver l’instinct de protection des siens c’est retrouver son âme et retrouver son bien
Ecouter le vent ce qu’il a à nous dire c’est regarder devant et ne pas ce mentir
C’est retrouvé l’instinct animal a l’humain, c’est retrouvé son âme et retrouver son bien

Le climat part en couille et le peuple dérouille
La planète on dépouille la maison on la souille
On puise et on épuise les ressources à notre guise
Nos chances s’amenuisent de faire face à cette crise
La machine est emballée, personne pour l’arrêter
Le climat part en couille et le peuple dérouille

REFRAIN :
Et je danse le reggae, au milieu de la tempête mondialisée
Et je chante le reggae, au milieu de la tempête généralisée

Le dieu consommation agit sur tous les fronts
Alors qu’il nous faudrait repenser nos sociétés
Métropolisation et mondialisation
Ne sont pas les chemins qu’il nous faudrait emprunter
La machine est emballée, personne pour l’arrêter
Le climat part en couille et le peuple dérouille

REFRAIN :
Et je danse le reggae, au milieu de la tempête mondialisée
Et je chante le reggae, au milieu de la tempête généralisée

Nous sommes tous esclaves de la loi des marchés
Il faut briser les chaînes qui nous sont imposées
Il nous faut désormais marcher d’un autre coté
Levons les boucliers tant qu’il en est encore temps
Agissons bâtissons un futur à nos enfants